du grec noo et analambanô, d'ana, préfixe, et lambanein, reprendre, ressaisir

Terme jadis utilisé par Jean Delay et Pierre Deniker pour désigner une substance médicamenteuse capable de stimuler la vigilance [comme les amphétamines], tandis que les stimulants de l'esprit ou psychostimulants -dont les nooanaleptiques sont une catégorie particulière- étaient appelés psychoanaleptiques : les antidépresseurs, et diverses subatnaces telles que la caféine, la nicotine, etc.
On parle aujourd'hui de substances nootropes.

[Analepsie vient de analambanein, rétablissement des forces chez un convalescent; analeptique vient du grec analeptikos]